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aristode47

9 avril 2009

FEMME VIRTUEL

J'espère la revoir chaque soir
La fille qui éclaire l'écran noir
Celle à qui je confie ma vie
Celle qui porte conseil à mes soucis

J'ai passé tant d'heures à lui parler
Pour elle, je n'ai pas de secrets
Toutes ces nuits où elle m'a accompagné
On a parfois eu du mal à se quitter

Je pense à elle bien souvent
Rien n'explique ces moments troublants
C'est comme de la magie
Avec cette femme tout s'éblouit

Sur sa photo, mes yeux se sont posés
Devant sa beauté, n'ont pu se détacher ;
La femme du monde virtuel
On aimerait l'avoir en réel

Elle semble si parfaite
Et déjà une idée derrière la tête
La fiction deviendra t-elle réalité ?
Rien ne peut le présager

Méfies-toi de ce garçon charmeur
Il pourrait bien t'enfermer dans son cœur
Mais après tous ces mots doux échangés
On pourrait peut-être songer à se rencontrer

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9 avril 2009

expérience parisienne

En déplacement à Paris il y a quelques années je prenais régulièrement le métro. Ce jour là était un jour de grève, j'avais joué du coude et réussi à monter dans une rame. Je me retrouvais propulsé à l'arrière de la voiture, dos contre la paroi et collé tout contre un jeune inconnu .

Coincé comme je l'étais de toute part, je n'avais plus qu'une chose à faire, prendre mon mal en patience. Puis quelque chose me ramena à la réalité quelque chose qui se situait au niveau de mon entrejambe, une grosseur qui prenait du volume tout contre mon bas ventre.

J'ouvris lentement mes yeux et fixa l'inconnu qui était appuyé contre moi, ses cuisses en étau, plaquées entre la mienne. Je compris que aidé des mouvements répétés de la voiture, les frottements contre mon corps l'avaient excité . Il était pas mal, jeune, brun, bien fichu vêtu tout comme moi d'un costume à veste assez large

L'effet de surprise passé, je commençais à trouver la situation plutôt agréable. Mon vis-à-vis avait relevé la tête Son teint avait rougi et ce n'était pas uniquement dû à la chaleur et aux odeurs ambiantes. Nous étions vraiment très entassés les uns sur les autres, à la limite du supportable et la seule chose qu'il arrivait à faire, c'était d'accentuer les frottements. A ce que je pouvais sentir contre ma jambe, il devait avoir une sacrée belle queue ! Excité par cette situation, je sentais à mon tour mon sexe grossir sous ses frottements.

Je glissais ma main doucement entre nos bassins comme pour ajuster mon entrejambe et mieux connaitre ses intentions , la grosseur et la moiteur de sa queue que je sentais en le frôlant ne laissait plus aucun doute . J'ai continué mes passages furtifs puis plus appuyés contre sa bite qu'il frottait de plus en plus fort contre ma main comme pour me solliciter. J'ai baissé le plus discrètement possible la braguette de son pantalon.

J'ai entrepris de caresser la verge au travers de ce que je devinais être un caleçon tres moulant. je ne m'étais pas trompé , il était rudement bien monté !

Sans trop de difficulté, je trouvais un chemin où passer ma main et extirpa son sexe de son fourreau devenu subitement trop étroit pour lui. Je me mis à le caresser du bout des doigts et fut surpris de voir qu'il pouvait encore grossir. Je sentis le bout humide de son gland glisser dans le creux de ma main. Je pris alors sa queue à pleine main et commença à la branler, tout doucement d'abord, puis de plus en plus vite. Lorsque je sentis des gouttes de sa semence ruisseler dans le creux de ma main, j'arrêtais mes mouvements de va et vient, retardant volontairement son plaisir. L'inconnu avait les yeux fermés, la mâchoire serrée, je savais qu'il attendait, espérait une délivrance rapide et que cette délivrance ne dépendait que de moi. Cette sensation de pouvoir ne faisait que rajouter à mon excitation.

Ma main quitta la verge pour replonger dans le pantalon, à la recherche des couilles qui étaient gonflées à l'extrême. Je les caressais, les malaxais, les compressais durement. Son souffle se faisait de plus en plus court, de plus en plus rapide. Je ressortis lentement ma main et repris mes mouvements de va et vient sur sa verge, des mouvements très lent. Je vis des gouttes de sueur couler le long des joues. je sentis la grosse veine battre de plus en plus fort et compris qu'il aller venir Mais, coincé comme il l'était, il ne pouvait rien faire d'autre que se laisser faire et je continuais ma branlette .

L'inconnu s'était agrippé à mon sexe qu'il empoignait de plus en plus fort et qu'il palpait au travers de mon pantalon et je décidais alors de mettre fin à sa souffrance. Je donnais un dernier coup de poignet et je sentis des saccades de jets chauds venir inonder ma main et sa chemise et, je fus pris moi-même d'une violente jouissance qui inondait mon caleçon.

Lorsque l'inconnu eu finit de se vider les bourses dans son pantalon, le métro arrivait à la station à laquelle je devais descendre. Plus facilement que je ne l'avais imaginé, j'arrivais à me frayer un chemin jusqu'en dehors de la voiture.

Je rentrais à l'hôtel en courant, sentant mon sperme ruisseler dans mon caleçon. Arrivé dans ma chambre, je me jetais sur le lit, tout habillé, et je me caressai longuement, pour éjaculer à nouveau aussi puissamment de plusieurs jets sur ma poitrine avant que la fatigue finisse par avoir raison de moi...

26 mars 2007

ET BIEN OUI ME VOICI

PREMIERS MOTS

PREMIERES ENVIES

PREMIERS DESIRS

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aristode47
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